La phase des examens pour l’année scolaire 2024-2025 a officiellement démarré au Togo. Ce lundi 26 mai marque le début des épreuves écrites du Baccalauréat première partie (BAC 1), organisées sur l’ensemble du territoire national. Un moment décisif pour des milliers d’élèves arrivés au terme du cycle secondaire.
Au total, 90 249 candidats issus de l’enseignement général, technique et professionnel prennent part à cette session. Le BAC 1 représente pour eux un passage essentiel vers la classe de Terminale, mais aussi une évaluation majeure de leurs connaissances et compétences acquises.
Des examens placés sous le signe de la rigueur et de l’équité
Comme à l’accoutumée, des responsables administratifs et éducatifs ont effectué des visites dans plusieurs centres d’examen. Préfets, maires, élus locaux ainsi que des représentants du ministère de l’Éducation étaient mobilisés pour veiller au bon déroulement des épreuves, au respect des consignes officielles et à la disponibilité des encadreurs.
« Nous sommes sur le terrain pour nous assurer que les examens se déroulent dans de bonnes conditions. Cette évaluation est un indicateur de la qualité de l’enseignement et de l’efficacité du dispositif éducatif mis en place », a déclaré Isaac Tchiakpe, ministre en charge de l’Enseignement technique et de l’Artisanat, lors d’une tournée dans des centres.
Les épreuves se poursuivront jusqu’au vendredi 30 mai dans un climat globalement serein, selon les premiers constats. Le gouvernement a, pour sa part, mobilisé les ressources nécessaires afin de garantir la sécurité des épreuves, la disponibilité des sujets et le respect du calendrier officiel.
Le BAC 1 constitue ainsi une étape cruciale dans le parcours académique des élèves. Il permet non seulement de mesurer les acquis pédagogiques, mais aussi de jauger les performances globales du système éducatif togolais.