Dans une campagne enflammée en vue des élections législatives et régionales prévues pour le lundi 29 avril 2024, le militant politique Yawo Sodagni a mobilisé les citoyens de l’Akebou, en particulier ceux de la commune d’Akébou 1, à exprimer leur soutien sans réserve à l’Union pour la République (UNIR).
S’adressant à une foule enthousiaste, le militant Yawo Sodagni a souligné l’importance cruciale de maintenir la dynamique de développement, la stabilité politique, l’éducation de qualité et l’assurance maladie dans la préfecture de l’Akebou.
Il a exhorté les électeurs à confirmer leur engagement envers ces idéaux en votant massivement pour les listes UNIR lors du scrutin à venir.
« Le lundi 29 avril, nous avons l’opportunité historique de façonner l’avenir de notre préfecture », a-t-il déclaré.
« En votant UNIR à 100%, nous affirmons notre volonté collective de voir ces progrès se poursuivre et de garantir un avenir meilleur pour nous-mêmes et nos enfants ».
Il a également mis en avant le bilan positif du parti au pouvoir, mettant en évidence ses réalisations tangibles en matière de développement économique et social.
« UNIR a démontré son engagement envers le peuple togolais à travers des actions concrètes et des politiques inclusives », a-t-il affirmé.
Il a appelé à l’unité et à la solidarité au sein de la communauté, soulignant que le vote UNIR est un vote pour la cohésion et le progrès. « En restant unis derrière UNIR, nous renforçons notre voix collective et notre capacité à influencer positivement le cours de notre avenir », a-t-il ajouté.
La passion et la détermination de Sodagni ont été accueillies par des acclamations et des applaudissements fervents de la part de la foule, témoignant de l’adhésion et du soutien massif envers le parti UNIR dans la préfecture de l’Akebou.
Alors que la date fatidique des élections approche, le message du militant Yawo Sodagni résonne comme un appel à l’action, invitant les citoyens à se mobiliser et à faire entendre leur voix en faveur d’un avenir prometteur pour la région et le pays dans son ensemble.
Jean-Marc Ashraf
