Par décret présidentiel signé le 8 août par Faure Gnassingbé, chef suprême des armées, Agnidoufey Mamah, jusque-là colonel, accède au grade de général de brigade aérienne.
Cette distinction vient couronner plus de trente années d’un parcours exemplaire, marqué par le professionnalisme, la discipline et un engagement constant en faveur de la modernisation de l’armée de l’air togolaise.
Respecté et reconnu au sein des forces armées, le nouveau général s’est imposé comme l’un des artisans majeurs de la transformation de l’aviation militaire nationale. Sous sa direction, des progrès notables ont été enregistrés : formation renforcée des pilotes, acquisition de matériels modernes, modernisation des infrastructures et alignement des capacités aux standards régionaux et internationaux.
Un leadership stratégique dans un contexte sécuritaire exigeant
Dans une sous-région ouest-africaine confrontée à des menaces transfrontalières et asymétriques croissantes, Agnidoufey Mamah, qui conserve ses fonctions de chef d’état-major de l’armée de l’air, a mis l’accent sur la polyvalence et la réactivité des unités aériennes. Ses choix stratégiques ont permis d’intensifier la surveillance du territoire, d’améliorer les capacités de déploiement rapide et de renforcer la coopération régionale dans le cadre des dispositifs de sécurité collective.
Une étape clé pour l’armée de l’air togolaise
Cette promotion ne se limite pas à un avancement dans la hiérarchie militaire : elle traduit la volonté du gouvernement togolais de s’appuyer sur des officiers aguerris pour mener à bien la modernisation des forces armées.
Avec son nouveau général à la tête de l’état-major, l’armée de l’air togolaise entre dans une nouvelle phase de mutation : devenir une force moderne, bien équipée et apte à relever les défis sécuritaires du XXIᵉ siècle.