Ces dernières années, l’université publique togolaise a connu une véritable métamorphose, tant sur le plan infrastructurel que pédagogique, marquant une avancée significative dans le paysage éducatif national.
Grâce à d’importants investissements, l’Université de Lomé a été entièrement rénovée. Jadis exposée aux aléas climatiques et à l’insécurité, elle offre désormais un cadre propice à l’apprentissage et à la recherche, avec de nouveaux bâtiments qui se multiplient sur le campus. Cette transformation est le résultat de la vision du gouvernement, impulsée par le chef de l’État, SEM Faure Essozimna Gnassingbé.
Les efforts entrepris ont permis à cette institution de se hisser parmi les meilleures de l’espace francophone, occupant aujourd’hui la deuxième place selon le classement Unirank. Cette reconnaissance internationale a également attiré des institutions prestigieuses, comme l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), qui a choisi l’Université de Lomé pour accueillir ses cours destinés à l’Afrique francophone et y a établi une chaire. Ces réalisations sont des preuves tangibles de l’impact des réformes engagées.
Parallèlement à ces améliorations matérielles, des progrès significatifs ont été réalisés sur le plan académique et pédagogique. Le renforcement des capacités des enseignants et leur formation continue ont permis d’obtenir des résultats probants, comme en témoignent les performances enregistrées lors des concours d’agrégation.
La déconcentration de l’enseignement supérieur
Le gouvernement s’est également engagé dans une politique de déconcentration de l’enseignement supérieur, avec des investissements majeurs dans les universités de l’intérieur du pays. L’Université de Kara, forte de ses deux décennies d’existence, bénéficie actuellement de nouvelles infrastructures répondant aux standards internationaux, notamment pour la faculté des sciences de la santé et l’institut des métiers de l’agriculture.
De plus, la construction de l’Université de Datcha illustre l’ambition nationale de multiplier les pôles universitaires pour rendre l’enseignement supérieur accessible à davantage de Togolais et soutenir le développement régional.
Malgré ces avancées indéniables, certains esprits mal intentionnés s’efforcent de ternir ces réalisations en diffusant des informations erronées et des critiques infondées. Ces comportements, souvent motivés par des intérêts personnels ou politiques, contrastent avec la nécessité d’un dialogue constructif. Les syndicats, en particulier, gagneraient à formuler des propositions concrètes pour relever collectivement les défis du secteur, plutôt que de se livrer à des polémiques stériles.
Un avenir prometteur pour l’université togolaise
L’université publique togolaise se transforme et poursuit son développement, malgré les résistances de certains. Forte de ces réalisations, elle continuera à grandir et à affirmer son rôle moteur dans le développement du pays, au bénéfice des générations futures.
